2010年9月8日星期三

Saad Hariri revient sur ses accusations contre la Syrie pour l'assassinat de son père

Rafic Hariri, ancien premier ministre devenu opposant à l'hégémonie de Damas au Liban, nike shoe en lignea été tué avec 22 autres personnes dans un attentat à la camionnette piégée à Beyrouth le 14 février 2005. A cette époque, Saad Hariri et ses alliés avaient accusé le régime en Syrie, qui exerçait alors une tutelle sur son petit voisin, d'être à l'origine de ce meurtre. Damas a toujours nié une quelconque nike tn requin baskets implication dans ce meurtre mais avait été contrainte de retirer ses troupes du Liban après trois décennies de présence. Les deux premiers rapports de la commission d'enquête de l'ONU sur cet assassinat avaient conclu à des "preuves convergentes" mettant en cause les renseignements syriens et libanais.
SAAD HARIRI S'EN REMET AU TRIBUNAL SPÉCIAL POUR LE LIBAN
Le camp de M. Hariri avait aussi accusé la Syrie d'avoir planifié l'assassinat de plusieurs personnalités libanaises anti-syriennes, nike tn requin baskets dont un ministre et trois députés, après celui de l'ex-premier ministre. "Il y a une cour qui fait son travail, et de notre côté nous devons réexaminer ce qui s'est passé", déclare désormais Saad Hariri en allusion au Tribunal spécial pour le Liban (TSL), chargé de l'enquête sur cet assassinat et créé en 2007 par une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU.
Selon lui, nike nouveau baskets une "nouvelle page a été ouverte dans ces relations [entre le Liban et la Syrie] depuis la formation du gouvernement libanais", fin 2009. Dans cette interview au quotidien arabe, il fait allusion à de "faux témoins" qui ont "détruit les relations entre la Syrie et le Liban et politisé l'assassinat". Depuis la formation de ce gouvernement, Saad Hariri a effectué cinq visites en Syrie, et le président syrien Bachar el-Assad est venu une fois au Liban.

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