2010年9月8日星期三

Les déclarations de Saad Hariri confirment la nouvelle influence de la Syrie au Liban

Le fils de l'ancien premier ministre Rafic Hariri, Saad, a pris de court le Liban en déclarant dans un entretien au quotidien panarabe As Sharq Al-Awsat, publié le 6 septembre : "nous avons commis des erreurs. nike tn requin baskets Nous avons accusé la Syrie d'avoir assassiné le premier ministre martyr [Rafic Hariri]. Il s'agissait d'une accusation politique, et cette accusation politique n'est plus à l'ordre du jour ". L'assassinat de Rafic Hariri, le 14 février 2005, dans un attentat au camion-suicide perpétré au centre de Beyrouth, avait entraîné une vague de contestation inédite contre l'influence de Damas au Liban, héritage de la guerre civile (1975-1990), nike 2010 baskets puis le départ des troupes syriennes. Saad Hariri, qui avait repris l'héritage politique de son père au lendemain de sa mort, avait alors publiquement mis en cause le rôle de la Syrie dans l'attentat du 14 février, appuyé par les Etats-Unis et la France.
Cinq ans plus tard, l'équilibre des forces s'est modifié au Liban. C'est aujourd'hui la puissance militaire du mouvement chiite Hezbollah, formé et contrôlé par le régime iranien, nike tn requin baskets qui suscite le plus d'inquiétudes comme l'avait montré, en mai 2008, sa démonstration de force dans les quartiers à majorité sunnite de Beyrouth.
Nommé premier ministre d'un gouvernement de coalition en novembre 2009 comprenant des formations pro-syriennes (le mouvement du général chrétien Michel Aoun et le Hezbollah), Saad Hariri a dû d'ailleurs se résoudre à se rendre à Damas pour s'y entretenir avec le président Bachar Al-Assad. De son côté, la France avait renoué un an plus tôt,nike shoe baskets en juillet 2008, ses relations avec la Syrie.

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